ANIMAUX MORTS
SUR ASSIETTE
Point de départ l’hypocrisie [de nos habitudes alimentaires].
Nous nous plaisons à oublier que «l’homme», en sus d'apprécier les végétaux est aussi un carnivore !
Qui veut voir l'animal - le veau dans le rôti – l’agneau dans le gigot ?
Le steak rissolant dans la poêle était encore bœuf, il y a peu !
Enfants, nous tenons tendrement dans nos bras un adorable porcelet, un lapereau.
Tous les gamins sont attendris par les poussins ; Pourtant derrière ces images d'Epinal, il y a le calvaire de l'élevage intensif, la peur et la souffrance dans les abattoirs, voire le sadisme de certains humains.
Nous apprécions pour les fêtes une douzaine d'huitres, un homard, du foie gras… et pourtant, nous sommes révoltés de voir des chiens pendus aux étals des boucheries chinoises. Qui mangerait aujourd'hui en France, des rats ou des chats ?
Ensuite, le jeu photographique [mettre en cuisine des animaux que l’on ne mange pas].